On parle généralement de colique néphrétique. Il n’y a pas de relation directe entre la taille du calcul et les douleurs. 
En effet de petits calculs peuvent être extrêmement douloureux alors que de gros calculs peuvent être évacués de manière indolore. 

Les conditions de fabrication d’un calcul sont les voyages, la pratique du sport ou un écart de régime. 
Le patient est frénétique, agité, anxieux. Il existe des signes digestifs et le patient urine souvent. C’est une douleur lombaire, unilatérale à irradiation descendante.
Des nausées, des vomissements sont associés voire du sang dans les urines. 
On pratique ce qu’on appelle la bandelette urinaire permettant de vérifier la présence de sang dans les urines mais aussi le PH urinaire( nous donnant une orientation en cas de PH acide calcul d’acide urique.)

Il existe des formes graves : la colique néphrétique fébrile qui nécessite un drainage des urines en urgence ou une néphrostomie percutanée, ou encore par une montée de sonde urètérale, sonde double J. 
L’anurie peut se voir lorsqu’il existe un rein unique ou des calculs bilatéraux. Cela nécessite également un drainage des urines en urgence. 

Chez la femme enceinte il existe une hypercalciurie et généralement une hypotonie de la voie excrètrice droite.
Ce diagnostique est fait par l’échographie rénale associée à un cliché de l’abdomen sans préparation. Un scanner hélocoïdal sans injection peut faire le diagnostique de calcul. Ces examens doivent être faits en fonction du terme. 
Le traitement médical peut suffir. Parfois une sonde double J est nécessaire.